Usages et représentations sociales de l’ordinateur chez les élèves dans deux lycées du Cameroun

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La thèse étudie les usages et les représentations sociales de l’ordinateur chez les apprenants camerounais, notamment ceux du lycée Général Leclerc (LGL) et du lycée bilingue (LB) de Yaoundé. Elle présente l’étude combinée de ces faits sociaux comme une approche pour saisir l’appropriation d’une technologie. Dans ce travail, nous avons envisagé la notion d’usage comme des tâches, actions et activités à connotations techniques, sociales et cognitives qui sont effectivement réalisées avec l’ordinateur, ce qui va avec la définition qu’en donne Proulx (2005). Il définit l’usage comme « ce que les gens font effectivement avec les objets et dispositifs techniques » (p. 11). Nous avons considéré les représentations sociales à la fois dans les perspectives du noyau central (Abric, 1994 ; Flament, 1994) et des principes organisateurs (Doise, 1990 ; Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992, 1994), c’est-à-dire comme fait socio-psychologique constitué d’informations, d’opinions et d’attitudes, organisé et socialement ancré, que des individus dans des groupes développent et partagent autour d’un objet tel que l’ordinateur.La thèse étudie les usages et les représentations sociales de l’ordinateur chez les apprenants camerounais, notamment ceux du lycée Général Leclerc (LGL) et du lycée bilingue (LB) de Yaoundé. Elle présente l’étude combinée de ces faits sociaux comme une approche pour saisir l’appropriation d’une technologie. Dans ce travail, nous avons envisagé la notion d’usage comme des tâches, actions et activités à connotations techniques, sociales et cognitives qui sont effectivement réalisées avec l’ordinateur, ce qui va avec la définition qu’en donne Proulx (2005). Il définit l’usage comme « ce que les gens font effectivement avec les objets et dispositifs techniques » (p. 11). Nous avons considéré les représentations sociales à la fois dans les perspectives du noyau central (Abric, 1994 ; Flament, 1994) et des principes organisateurs (Doise, 1990 ; Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992, 1994), c’est-à-dire comme fait socio-psychologique constitué d’informations, d’opinions et d’attitudes, organisé et socialement ancré, que des individus dans des groupes développent et partagent autour d’un objet tel que l’ordinateur.La thèse étudie les usages et les représentations sociales de l’ordinateur chez les apprenants camerounais, notamment ceux du lycée Général Leclerc (LGL) et du lycée bilingue (LB) de Yaoundé. Elle présente l’étude combinée de ces faits sociaux comme une approche pour saisir l’appropriation d’une technologie. Dans ce travail, nous avons envisagé la notion d’usage comme des tâches, actions et activités à connotations techniques, sociales et cognitives qui sont effectivement réalisées avec l’ordinateur, ce qui va avec la définition qu’en donne Proulx (2005). Il définit l’usage comme « ce que les gens font effectivement avec les objets et dispositifs techniques » (p. 11). Nous avons considéré les représentations sociales à la fois dans les perspectives du noyau central (Abric, 1994 ; Flament, 1994) et des principes organisateurs (Doise, 1990 ; Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992, 1994), c’est-à-dire comme fait socio-psychologique constitué d’informations, d’opinions et d’attitudes, organisé et socialement ancré, que des individus dans des groupes développent et partagent autour d’un objet tel que l’ordinateur.La thèse étudie les usages et les représentations sociales de l’ordinateur chez les apprenants camerounais, notamment ceux du lycée Général Leclerc (LGL) et du lycée bilingue (LB) de Yaoundé. Elle présente l’étude combinée de ces faits sociaux comme une approche pour saisir l’appropriation d’une technologie. Dans ce travail, nous avons envisagé la notion d’usage comme des tâches, actions et activités à connotations techniques, sociales et cognitives qui sont effectivement réalisées avec l’ordinateur, ce qui va avec la définition qu’en donne Proulx (2005). Il définit l’usage comme « ce que les gens font effectivement avec les objets et dispositifs techniques » (p. 11). Nous avons considéré les représentations sociales à la fois dans les perspectives du noyau central (Abric, 1994 ; Flament, 1994) et des principes organisateurs (Doise, 1990 ; Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992, 1994), c’est-à-dire comme fait socio-psychologique constitué d’informations, d’opinions et d’attitudes, organisé et socialement ancré, que des individus dans des groupes développent et partagent autour d’un objet tel que l’ordinateur.La thèse étudie les usages et les représentations sociales de l’ordinateur chez les apprenants camerounais, notamment ceux du lycée Général Leclerc (LGL) et du lycée bilingue (LB) de Yaoundé. Elle présente l’étude combinée de ces faits sociaux comme une approche pour saisir l’appropriation d’une technologie. Dans ce travail, nous avons envisagé la notion d’usage comme des tâches, actions et activités à connotations techniques, sociales et cognitives qui sont effectivement réalisées avec l’ordinateur, ce qui va avec la définition qu’en donne Proulx (2005). Il définit l’usage comme « ce que les gens font effectivement avec les objets et dispositifs techniques » (p. 11). Nous avons considéré les représentations sociales à la fois dans les perspectives du noyau central (Abric, 1994 ; Flament, 1994) et des principes organisateurs (Doise, 1990 ; Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992, 1994), c’est-à-dire comme fait socio-psychologique constitué d’informations, d’opinions et d’attitudes, organisé et socialement ancré, que des individus dans des groupes développent et partagent autour d’un objet tel que l’ordinateur.La thèse étudie les usages et les représentations sociales de l’ordinateur chez les apprenants camerounais, notamment ceux du lycée Général Leclerc (LGL) et du lycée bilingue (LB) de Yaoundé. Elle présente l’étude combinée de ces faits sociaux comme une approche pour saisir l’appropriation d’une technologie. Dans ce travail, nous avons envisagé la notion d’usage comme des tâches, actions et activités à connotations techniques, sociales et cognitives qui sont effectivement réalisées avec l’ordinateur, ce qui va avec la définition qu’en donne Proulx (2005). Il définit l’usage comme « ce que les gens font effectivement avec les objets et dispositifs techniques » (p. 11). 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Auteur : Béché, Emmanuel

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